Atlas des paysages
Département de l'isère

les unités paysagères

Anthon • Bonnefamille • Bourgoin-Jallieu • Cessieu • Chamagnieu • Charvieu-Chavagneux • Chavanoz • Chimilin • Chozeau • Domarin • Four • Frontonas • Grenay • Janneyrias • L’Isle-d’Abeau • La Bâtie-Montgascon • La Chapelle-de-la-Tour • La Tour-du-Pin • La Verpillière • Les Abrets en Dauphiné • Maubec • Nivolas-Vermelle • Panossas • Pont-de-Chéruy • Roche • Rochetoirin • Ruy-Montceau • Saint-Alban-de-Roche • Saint-André-le-Gaz • Saint-Clair-de-la-Tour • Saint-Didier-de-la-Tour • Saint-Jean-de-Soudain • Saint-Marcel-Bel-Accueil • Saint-Quentin-Fallavier • Saint-Romain-de-Jalionas • Saint-Victor-de-Cessieu • Sainte-Blandine • Satolas-et-Bonce • Sérézin-de-la-Tour • Tignieu-Jameyzieu • Vaulx-Milieu • Villefontaine • Villemoirieu
Bonnefamille • Bourgoin-Jallieu • Cessieu • Chamagnieu • Chimilin • Domarin • Four • Frontonas • Grenay • L’Isle-d’Abeau • La Bâtie-Montgascon • La Chapelle-de-la-Tour • La Tour-du-Pin • La Verpillière • Les Abrets en Dauphiné • Maubec • Nivolas-Vermelle • Panossas • Roche • Rochetoirin • Ruy-Montceau • Saint-Alban-de-Roche • Saint-André-le-Gaz • Saint-Clair-de-la-Tour • Saint-Didier-de-la-Tour • Saint-Jean-de-Soudain • Saint-Marcel-Bel-Accueil • Saint-Quentin-Fallavier • Saint-Victor-de-Cessieu • Sainte-Blandine • Satolas-et-Bonce • Sérézin-de-la-Tour • Vaulx-Milieu • Villefontain

1. La confluence de la Bourbre et du Rhône

À la fois dans le département de l’Isère et dans l’aire urbaine de Lyon, l’unité paysagère de la confluence de la Bourbre et du Rhône jouit d’une situation particulière, dont les paysages sont le témoin.

Par leurs contrastes, ils illustrent la rencontre de différentes caractéristiques, dynamiques et enjeux, entre un territoire d’origine rurale, lié aux fortes évolutions de la métropole lyonnaise, qui lui confèrent un caractère périurbain de grande couronne.

D’autre part, l’unité paysagère est structurée par la basse vallée de la Bourbre et sa confluence avec le Rhône. Elle représente donc également la rencontre de deux cours d’eau majeurs du département et tient une place symbolique dans la relation de la société iséroise à son territoire.

Les communes de l'unité paysagèreAnthon • Bonnefamille • Bourgoin-Jallieu • Cessieu • Chamagnieu • Charvieu-Chavagneux • Chavanoz • Chimilin • Chozeau • Domarin • Four • Frontonas • Grenay • Janneyrias • L’Isle-d’Abeau • La Bâtie-Montgascon • La Chapelle-de-la-Tour • La Tour-du-Pin • La Verpillière • Les Abrets en Dauphiné • Maubec • Nivolas-Vermelle • Panossas • Pont-de-Chéruy • Roche • Rochetoirin • Ruy-Montceau • Saint-Alban-de-Roche • Saint-André-le-Gaz • Saint-Clair-de-la-Tour • Saint-Didier-de-la-Tour • Saint-Jean-de-Soudain • Saint-Marcel-Bel-Accueil • Saint-Quentin-Fallavier • Saint-Romain-de-Jalionas • Saint-Victor-de-Cessieu • Sainte-Blandine • Satolas-et-Bonce • Sérézin-de-la-Tour • Tignieu-Jameyzieu • Vaulx-Milieu • Villefontaine • Villemoirieu

Développement de l’urbanisation, de la maïsiculture et épaississement des boisements

Charvieu-Chavagneux est la ville la plus méridionale du département. Elle intègre l’aire urbaine de Lyon et est considérée, notamment à ce titre, comme faisant partie de la grande banlieue lyonnaise. La commune a connu de fortes évolutions de son urbanisation, de son agriculture et de ses boisements.

Développement de l’urbanisation

1965 : Urbanisation organisée en bourg-centre (Charvieu), hameaux (dont Chavagneux) sur les coteaux et fermes isolées dans la plaine, coupure d’urbanisation marquée entre les bourgs et les hameaux

2000 : Fort développement du bourg et du hameau : apparition de maisons individuelles en lotissement dans la plaine et sur les coteaux, apparition de la ZAE de Montbertrand, formation d’une conurbation, disparition de la coupure d’urbanisation et des caractéristiques architecturales locales des constructions récentes

2020 : Poursuite du développement résidentiel et économique en extension hors de l’enveloppe bâtie

>> Perte de lisibilité de la structure historique, disparition de la coupure d’urbanisation, banalisation des paysages et consommation des terres agricoles, tendance encore en cours
Évolution du modèle agricole

1965 : Des parcelles cultivées et pâturées produisent des paysages de polyculture. Quelques boisements occupent la plaine de la Bourbre et un reliquat de bocage en délitement est encore visible

2000 : Agrandissement des parcelles et développement des grandes cultures. Disparition quasi totale des prairies, diminution des haies, épaississement des boisements et plantation de peupleraies dans la plaine

2020 :  Poursuite de la disparition des prairies, épaississement des haies subsistantes et des boisements

>> Banalisation des paysages agraires liée au déclin de la polyculture, tendance à la maïsiculture et épaississement des boisements, tendance encore en cours

PROPOSITIONS D’OBJECTIFS DE QUALITÉ PAYSAGÈRE

Le schéma propose la formulation d’objectifs de qualité paysagère, à vocation pédagogique, qui sont associés à des fiches pratiques PAYSAGE.

Celles-ci illustrent des principes d’aménagements possibles.

Fiche 1

Relief & Eau

Fiche 2

Couvert Végétal

Fiche 3

Agriculture

Fiche 4

Urbanisation & Architecture

Fiche 5

Équipements

Fiche 6

Perceptions

Quelques références locales...

Site @ mairie de Chavanoz

Lotissement mixte, résidentiel et économique

Chavanoz

L’intérêt de cette opération réside dans la mixité qu’elle offre, mélangeant activités économiques, avec différentes compétences artisanales, avec le résidentiel.

Un effort architectural a été fait pour certains bâtiments d’activité, respectant les volumes et les morphologies bâties, les toitures en tuiles et la couleur des murs.

D’autre part, cette opération évite la création d’une zone d’activité à destination économique exclusivement. La mixité entre les résidences et les activités apportent du dynamisme au cœur de l’agglomération, bien que le lotissement appartienne à la commune de Chavanoz.

L’opération répond donc à différents enjeux actuels, en évitant le zoning et la délocalisation des activités en périphérie d’agglomération.

Site @ agence-2br.fr

ZAC centre ville reconversion site industriel

Pont-de-Chéruy

Étude programmatique dans le cadre de la création de ZAC (Zone d’Aménagement Concerté) menée entre 2013 et 2015 par les architectes, urbanistes et paysagistes de l’agence 2BR.

Après la fermeture du site industriel Tréfimétaux, la commune a créé une ZAC pour engager le renouvellement urbain de ce site à proximité du cœur de l’agglomération. Le projet urbain repose en partie sur la retranscription du passé industriel du site.

L’opération développe environ 20 500 m² de surface de plancher avec une programmation mixte : logements, bureaux, commerces, artisanats.

L’étude a porté sur l’Adaptation du schéma d’aménagement initial, la réalisation d’un cahier des prescriptions architecturales, urbaines et paysagères, l’assistance à la constitution du dossier de réalisation de ZAC, l’aide à la rédaction du cahier des charges de consultation des promoteurs. L’équipe est aussi intervenue pour la validation des permis de construire.

Depuis les projets architecturaux et paysagers sont en cours de réalisation.

Source : https://www.agence-2br.fr/

Site @ CAUE38

Débat : ZAN et production de logements

Pont-de-Chéruy-SCoT de la Boucle du Rhône en Dauphiné (SYMBORD)

La mise en œuvre de l’objectif du Zéro Artificialisation Nette (ZAN), issu de la Loi Climat et Résilience de 2021, suscite beaucoup de questions dans les collectivités locales. Cet objectif parachève vingt ans de politique en matière d’urbanisme.
Désormais, la production de nouveaux logements devra avoir lieu dans les enveloppes urbaines déjà existantes : au sein de dents creuses, sur des friches, ou bien en densifiant le bâti existant.

A la demande du Syndicat mixte du SCoT de la Boucle du Rhône en Dauphiné (SYMBORD), rassemblant de nombreux villages autour des communes de Pont-de-Chéruy, Crémieu et Morestel, le CAUE a organisé et animé une conférence-débat sur la thématique du ZAN et la production de logements. La société Au Bercail, dont l’objet est d’accompagner la construction de petits projets d’habitats innovants (pico-promotion), ainsi que Laurence Bionaz, architecte-conseillère pour le CAUE, sont intervenues.

Source : https://caue-isere.org/

2. Le couloir urbain de la vallée de la Bourbre

Le couloir urbain de la vallée de la Bourbre fait partie des trois grands pôles urbains du département. Le resserrement de la vallée entre Saint-André-le-Gaz et Bourgoin-Jallieu produit l’effet de couloir et accentue la densité des constructions, qui prennent toute la largeur de la vallée et illustrent la forte attractivité du territoire, tout en participant à la perte de repère que l’on peut ressentir au cœur de l’unité. Paradoxalement, la vallée dispose d’un fort potentiel de points de vue depuis ses coteaux, souvent obstrués par le développement des boisements.

Les paysages reflètent aujourd’hui l’approche fonctionnaliste qui a guidé l’aménagement de la vallée au cours des 50 dernières années, période la plus active dans son développement. Son développement s’est notamment appuyé sur la présence des grandes infrastructures de transport, voie ferrée et autoroute, qui relient le territoire aux grands pôles urbains à proximité (Lyon / Grenoble / Chambéry sont à environ 30 mn de route).

La connectivité du territoire a permis un fort afflux de population, multipliant les lotissements pavillonnaires et les zones d’activités économiques, dont le contraste architectural avec le bâti local participe également à la perte de repères territoriaux. La présence du centre de logistique de Chesnes, par son immensité et l’absence d’intégration paysagère, favorise la perception fonctionnaliste des paysages.

Mais ce caractère s’atténue en remontant la vallée, les paysages retrouvant un caractère plus rural, aux motifs agricoles dominés par les prairies, contrairement à la plaine de Catelan, royaume de la maïsiculture, et à l’urbanisation moins dense, mais restant diffuse et importante.

Les communes de l'unité paysagèreBonnefamille • Bourgoin-Jallieu • Cessieu • Chamagnieu • Chimilin • Domarin • Four • Frontonas • Grenay • L’Isle-d’Abeau • La Bâtie-Montgascon • La Chapelle-de-la-Tour • La Tour-du-Pin • La Verpillière • Les Abrets en Dauphiné • Maubec • Nivolas-Vermelle • Panossas • Roche • Rochetoirin • Ruy-Montceau • Saint-Alban-de-Roche • Saint-André-le-Gaz • Saint-Clair-de-la-Tour • Saint-Didier-de-la-Tour • Saint-Jean-de-Soudain • Saint-Marcel-Bel-Accueil • Saint-Quentin-Fallavier • Saint-Victor-de-Cessieu • Sainte-Blandine • Satolas-et-Bonce • Sérézin-de-la-Tour • Vaulx-Milieu • Villefontain

Développement de l’urbanisation, de la maïsiculture et épaississement des boisements

Cessieu est un bourg situé entre les deux grands pôles urbains de l’unité, Bourgoin-Jallieu et la Tour-du-Pin, en pied de coteau. Son développement s’est fait de manière linéaire en fond de vallée, en direction des pôles voisins. Les paysages de la commune ont connu de fortes évolutions en matière d’urbanisation, d’agriculture et de boisement.

Développement de l’urbanisation

1965 : Urbanisation organisée en un centre-bourg, des hameaux sur les coteaux et des fermes isolées bien distinctes dans la plaine, coupure d’urbanisation marquée entre Cessieu et la Tour-du-Pin

2000 :  Fort développement des deux bourgs : apparition de maisons individuelles en lotissement ou dispersées, dans la plaine et sur les coteaux, apparition de la ZAE de la Tour-du-Pin, effaçant la coupure d’urbanisation et formant une conurbation, perte des caractéristiques architecturales locales dans les constructions récentes

2020 : Poursuite du développement résidentiel, essentiellement dans l’enveloppe urbaine (remplissage des dents creuses), poursuite du développement de la ZAE, en extension hors de l’enveloppe bâtie

>> Perte de lisibilité de la structure historique, disparition de la coupure d’urbanisation, banalisation des paysages et consommation des terres agricoles
Évolution du modèle agricole

1965 : De nombreuses parcelles cultivées et pâturées, en lanières de petite taille, produisent des paysages de polyculture et polyélevage en fond de vallée et sur les coteaux. Quelques boisements ou bois pâturés occupent les coteaux aux endroits les plus pentus, des haies bocagères structurent les prairies de la plaine

2000 : Agrandissement des parcelles et développement des grandes cultures. Diminution des prairies, enfrichement des coteaux et de la plaine, épaississement du bocage et plantation de peupleraies à la place des prairies de la plaine

2020 : Poursuite de la déprise, du phénomène d’enfrichement des prairies, épaississement des haies, de la ripisylve de la Bourbre et des peupleraies

>> Banalisation des paysages agraires liée au déclin de la polyculture, tendance à la maïsiculture et épaississement des boisements

PROPOSITIONS D’OBJECTIFS DE QUALITÉ PAYSAGÈRE

Le schéma propose la formulation d’objectifs de qualité paysagère, à vocation pédagogique, qui sont associés à des fiches pratiques PAYSAGE.

Celles-ci illustrent des principes d’aménagements possibles.

Fiche 1

Relief & Eau

Fiche 2

Couvert Végétal

Fiche 3

Agriculture

Fiche 4

Urbanisation & Architecture

Fiche 5

Équipements

Fiche 6

Perceptions

Quelques références locales...

@ pierres-et-terres.org

LE DOMAINE DE LA TERRE

Villefontaine

Le projet du Domaine de la Terre naît en 1980, à Paris. Il a pour vocation d’être une exposition internationale sur l’histoire, l’actualité et l’avenir des architectures de terre, tout en étant également une réalisation concrète qui fait avancer l’expérimentation et la mise en pratique d’idées nouvelles.

Le projet s’installe sur le territoire de la Ville nouvelle de L’Isle-d’Abeau, car plus de 90% de l’habitat rural est construit en pisé. L’OPAC 38, bailleur social, et les Directions de l’Architecture et de la Construction du Ministère de l’Environnement et du Cadre de vie sont les partenaires de ce projet innovant de village-exposition.
L’exposition est présentée à l’automne 1981 au Centre Georges Pompidou à Paris, et en même temps dans 150 villes en province. L’exposition part ensuite à l’étranger.

Dix équipes de conceptions sont choisies après un concours pour construire 65 logements sociaux sur 1,6 hectare, dans le tout jeune quartier des Fougères, à Villefontaine. CRAterre (centre de recherche et d’application Terre), laboratoire de l’Université de Grenoble, est l’assistance technique sur le projet. Un tirage au sort attribue à chaque équipe un îlot. Alain Leclerc, architecte-urbaniste de l’EPIDA (établissement public d’aménagement de L’Isle-d’Abeau) assure la coordination des différentes équipes.

Trois techniques sont utilisées : le pisé, les blocs de terre stabilisées et le mélange terre-paillage sur une ossature en bois. Sur l’îlot central, l’architecte Jean-Vincent Berlottier construit une tour de cinq étages en pisé, pour montrer la solidité du matériau.

@ www.bourgoinjallieu.fr

REQUALIFICATION DU QUARTIER CHAMPARET

Bourgoin-Jallieu

Les projets de renouvellement urbain visent à transformer de manière durable les quartiers les plus « sensibles » qui concentrent des difficultés urbaines, sociales et économiques.

Dans ce cadre, en octobre 2020, la rénovation du quartier Champaret en partie financée par la région Auvergne-Rhône-Alpes se poursuit. Depuis, le quartier bouge, se transforme et s’embellit. Les travaux d’aménagement des espaces publics du quartiers sont lancés début 2022.

Pour ce projet, l’équipe municipale a décidé d’investir massivement pour rénover le quartier. 1,8 millions d’euros ont déjà été investis depuis le début de la rénovation, sans compter la nouvelle piscine.

  • La Maison des Habitants (MDH) a été rénovée. Première étape de la rénovation du quartier Champaret : l’objectif de cette requalification était de remettre en valeur le rôle de ce bâtiment, faciliter et sécuriser l’usage du parvis pour des activités extérieures, faciliter le cheminement PMR et remettre en état les matériaux dégradés.
  • L’école Claude-Chary : mise en accessibilité et embellissement Les parvis de la MDH et de l’école Claude-Chary sont devenus des lieux de vie accueillants et sécurisés où les familles se retrouvent.
  • Une fresque sur le lieu d’accueil enfants-parents (LAEP) Parent’aise
  • Roue du Moulin : une sente piétonne restaurée
  • Le square du Robinier a fait l’objet d’une réhabilitation
  • Une nouvelle Plaine de jeux devant le Maison des Habitants
  • Aménagement du carrefour entre l’avenue du Dauphiné et le boulevard de Champaret
  • Piscine intercommunale : première piscine BEPOS (bâtiment à énergie positive) de France
@ www.lessor38.fr

EXTENSION DE LA VOIE VERTE DE LA BOURBRE

Bourgoin-Jallieu > L’Isle-d’Abeau

La voie verte représente un linéaire de six kilomètres entre Bourgoin-Jallieu et L’Isle-d’Abeau, comprenant un nouveau tronçon d’1,6 km qui a été inauguré le 31 mai 2022.

Dans le cadre de son schéma directeur Vélo, la Communauté d’agglomération Porte de l’Isère (Capi) a financé et inauguré en mai 2017 la voie verte de la Bourbre qui permet de relier à vélo et en 15 minutes, Bourgoin-Jallieu à L’Isle-d’Abeau. Des travaux d’extension ont débuté en septembre 2020 et se sont achevés fin avril 2022 afin de développer cette liaison fonctionnelle aux multiples usages.

En plus du nouveau tronçon d’1,6 km, les équipements dédiés et les aménagements réalisés entre l’aire du Guâ et le boulevard Saint-Germain à L’Isle-d’Abeau ont également fait l’objet de cette inauguration. Outre la réalisation en avril 2022 d’un parcours vélo ludique à destination des enfants sur l’aire du Guâ, du mobilier urbain (bancs, tables de pique-nique) ainsi que deux panneaux pédagogiques sur l’environnement ont été installés le long du tronçon.

Coût de l’opération : 254 000 € HT
Co-financement : Département, Région Capi